anastasia
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Traîtres souvenirs
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Sans crier gare je me sens poussée dans un espèce de coupe-gorge..... Il y a des moments quand tout revient en vrac, me saute dessus, je suis poignardée et j’étouffe sous ce déferlement de souffrance. Mes souvenirs sont forcément merveilleux, adorables. C’était ma jeunesse, je me croyais invincible sinon éternelle pareil à tous les autres que je cherissais. D’autant plus meurtrier.... L’absence, la conscience de la finitude, du départ programmé collé à l’incertitude de l’arrivage, tout est poison, outrage à mon Moi qui ne veut pas céder à cette inexorable pression. <br />
Bref, connaissez vous un secret, un gimmik pour stopper l’avalanche ? Moi, j’ai tout essayé, nouvelles amitiés, nouveaux paysages, techniques asiatiques pour découpler le mental du passé, du présent et même de l’avenir. Rien, rien n’est efficace vraiment. <br />
Méfiez-vous, ne prenez rien à la lettre, je jongle en saltimbanque avec mes journées. Il y en a où j’oublie de penser, de ressentir quoi que ce soit. Je joue au légume, cela me sied parfaitement. Par malheur le coupe-gorge me guette, à un moment où à un autre je finis par y tomber. No country for old man (or woman, n’est-ce pas ?)Traîtres souvenirsLe printemps, un des derniers ?!
http://anastasia.blogs.fr/index.html#a644281
Autant que je m’en souvienne le printemps était ma saison favorite. Un frémissement hormonal peut être.... J’attendais sans savoir quoi, de petits miracles ? Va savoir....J’avais la sensation de changer de peau comme les reptiles. Chaque bourgeon, chaque piaillement des volatiles parsemait l’air encore frais prêt à se laisser inondé par les rayons douces du soleil, réveillé du sommeil hivernal.... Tout me poussait vers un état amoureux. De quoi, de qui ? Quelle importance ! Le printemps me rendait la joie d’être tout simplement et remplissait mes attentes d’un aura mystérieux. <br />
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Aujourd’hui mon regard éteint, même pas triste, juste absent, traverse depuis ma chambre, univers presque obligé dorénavant, les vitres généreuses -un vrai cinéma du réel - offrant en cadeau le vol des goélands, tellement beaux, si occupés par leurs affaires printanières. Pas seuls, il y a les pigeons qui choisissent l’âme sœur, certaines fleurs qui poussent timidement, tant de réveils, d’arrivages, des cris de joie. Moi, aucun frémissement, exit les hormones ! Pas de demande amoureuse, l’attente jadis joyeuse s’est mué en angoisse. Je sens que la nature me renvoie un salut amical et prémonitoire. Patiemment elle attend que je la rejoigne poussière, brise ou ...rien du tout. Le vide, le noir, si des fois on pourra apprécier les couleurs. Encore un bonheur de perdu sur le chemin des années. Passées quand ? Où ? J’ai la mémoire qui flanche dit et bien dit la chanson....Le hic, mon cœur n’a pas envie de chanter cette chanson-là....Le printemps, un des derniers ?!Je n’aime pas
http://anastasia.blogs.fr/index.html#a644227
Qu’on fasse une loi pour chaque contrainte ....Qu’on dédie une journée à chaque habitant, chaque événement , chaque habitude des terriens. Par dessus tout je déteste la Journée de la Femme ! Des souvenirs ridicules, faussement idolâtres me reviennent du pays anciennement communiste où j’ai vécu mes premières de ces journées. Obligation d’apporter des fleurs à des profs détestés, de suivre des discours ampoulés qui n’en finissaient pas....de faire des déclarations mensongères aux mères, épouses, bref à toute la gente féminine. Tu suis et tu te tais.... Je croyais avoir échappé à ces singeries. Ça prouve ma méconnaissance du sujet. Cette fête hypocrite vient de loin, des femmes socialistes américaines du début du XXE siècle.. Tombée vite en oubli elle fut récupérée plus tard par les socialo-communistes et imposée dans les pays totalitaires (et soi-disant communistes). C’est en 1975 qu’on a décidé de la fêter urbi et orbi. Coïncidence ?! Avec l’avancement évident, inexorable des idées de gauche. Honorable, progressiste, festif. Sauf que on n’a jamais comme aujourd'hui compter les actions féminicides et cela partout de par le vaste monde. Pléthore de viols, assassinats, brutalités dont les femmes sont victimes. Pour le côté noir. Pour le gris les femmes sont moins bien payées, occupent moins de postes importants, etc. Tu parles d’une fête ! Bon, l’humanité est ce qu’elle est à chaque moment de son histoire, aucun droit au jugement de ma part. Ce qui me révulse c’est l’hypocrisie qui va avec. À mon âge c’est insupportable. Le droit - un des peu qu’on nous octroie- de la vieillesse. Salut !Je n’aime pasTout un art
http://anastasia.blogs.fr/index.html#a643956
Le rétropédalage ! Les autres chefs de tribus qui balancent entre solidarité verbale et tendance béliqueuse sur des champs virtuels ont dit plutôt niet à notre preux chevalier. Alors comment sortir la tête haute du bourbier ? Par des tours habiles de passe-passe on rétropédale tout en donnant l’impression qu’on avance ou du moins qu’on n’a pas changé de cap. On se croirait chez les clowns, tellement c'est cocasse. <br />
Alors expliquez-moi pourquoi on n’a pas envie de rire ? Parce qu’on regarde autour. On voit les petites et les grandes vérités et c'est pas rigolo du tout. Moi j’ai ma solution prête : mon temps ici bas est compressible. Pour le reste j’ai encore mes yeux pour pleurer. Vous pouvez faire autant, ou ....Tout un artPerte de mémoire
http://anastasia.blogs.fr/index.html#a643786
Une terrible maladie.... Je croyais bêtement que cela vient avec la vieillesse. Grosse erreur, tout le monde est concerné. Stupéfaite je constate que les abominations d’il y a pas si longtemps sont passées à la trappe. Un peuple qui lutte vaillamment et à contre courant pour venger des horreurs qu’on croyait d’une autre époque- est laissé se débrouiller seul contre des ennemis qui veulent son extermination... Pire, on le juge (de quel droit ?), on brandit une morale abstraite et injustifiée. Nous on nous intime de regarder ailleurs , là où le grand oncle d’Amérique nous dit de fixer notre compassion, d’envoyer nos sous à profusion avec en prime bourrage de méninges de l’imminent péril venant de l’Est. Cerise sur le gâteau il paraît qu’on devrait bientôt envoyer nos gosses aussi. Le méchant ours de nos cauchemars nous prépare soi-disant un coup fumant. <br />
Zut, sur le champ on a oublié nos traditions, nos origines culturelles. Et nos frères aînés qui ont formé nos croyances puisées dans des racines anciennes. Toute une civilisation qui tenait debout. Et qui perd petit à petit sa mémoire. En oubliant, normal, que dans le paquet-cadeau il y va de notre anéantissement. Perte de mémoireEn pleine Olympiade
http://anastasia.blogs.fr/page_2.html#a643782
De là connerie humaine ! Il y a quand même quelques oublis salutaires : les Nénètses ( pour votre gouverne un peuple vivant en Sibérie du Nord) n’ont pas revendiqué (encore ?!) un pays ni même un territoire autonome. Déjà ça de gagné, sinon on ne sait plus où donner de la tête pour résoudre les susceptibilités qui secouent la planète. J’attends avec patience qu’elle nous expédie en s’ébrouant au diable vauvert. On vit un vrai délire ou cauchemar selon vos sensibilités. On a commencé par un combat de coqs, on finira par un combat de cons. C'est toujours eux qui restent. Aujourd'hui on a sorti les javelots, au besoin des catapultes, le gros matériel se sera pour plus tard je le croyais. Et vlan que le preux chevalier légèrement échevelé par les courants opposés nous promet sortir le grand jeu. Il ne manque que l’armure, que voulez-vous on ne l’avait pas prévu si dynamique. Que faisons nous en attendant ? On attend.... Sagement ? Bêtement ?En pleine OlympiadeJe me laisse mourir
http://anastasia.blogs.fr/page_2.html#a643779
Pas trop pressée cependant....Je me scrute, je me tâte, je me soupçonne de triche de temps en temps....Une chose est sûre, j’avance en pleine conscience vers la fin. Il me reste un petit bout de vie ( comme disait Devos à juste titre il y a deux bouts à chaque chose) il y a forcément un autre bout quelque part.... OÙ ? De plus en plus souvent je lance cette question comme une bouteille à la mer. Un jour, quelqu'un....peut-être....un bout de réponse ?! Mais comme il y a deux bouts à chaque chose....Ha ! Ha ! On n’est pas plus avancé, hein ?Je me laisse mourirTel chien tel maître
http://anastasia.blogs.fr/page_2.html#a643562
J’ai à dessein inversé le dicton.... Chez nous la priorité appartient au chien et cela dès que j’ai mis le nez dehors depuis le ventre maternel. <br />
Drôle de destin, en parallèle. Enfin, presque....Lui, cette fois c’est une elle, issue de nulle part, débarquée par hasard, un coup de bol inouï. Ramassée dans un bled perdu d’un pays émergent, chiot patte cassée et plaie sur une cuisse, elle bénéficia dans un laps de temps raccourci au minimum d’une ascension assez spectaculaire. La vie nous réserve de ces surprises...Elle débarqua à Paris et pas n’importe où. Passy comme cage dorée, Bois de Boulogne comme jardin privatif. Ensuite vacances idylliques au bord méditerranéen en Espagne avec petit arrêt à Nice histoire de s’habituer au changement de climat. Mais le mental on ne le change pas si facilement. Chien ou pas chien d’ailleurs. La génétique bien plantée dans le caractère, elle conserva quelques bonnes et saines habitudes. On domine là où on peut, le reste on s’adapte ou on se barre. <br />
Comme points communs on en a pas mal. Déjà en ayant vécu nos premiers pas presque seules. Elle dans la rue, moi à la maison avec un seul parent - quand il était là. Je ne verse pas dans le larmoyant . Pure vérité. On a dépassé le chagrin en nous appuyant sur nous mêmes. Le sort aidant, la récupération d’une entité familiale est venue pour les deux . Le bonheur faisant partie du paquetage. Ça unit d’avoir un sort commun. En tout cas moi j’en suis consciente, elle je crois pas trop. Un chien vit dans le présent, tout en traînant discrètement quelques séquelles. Des séquelles elle garde l’instinct de défense en suractivant la dominance. Ça lui sied à merveille. Ce sont les autres, tous les autres, chiens et humains qui s’y sont adaptés. Je devrais apprendre. Assimiler c’est lourd. Et trop tard.Tel chien tel maîtreSacrée nostalgie
http://anastasia.blogs.fr/page_2.html#a643443
On dit d’elle qu’elle est douce. Pour moi elle a un goût de rance, de poison sournois qui pourrit les peu de souvenirs qui me reviennent. Je ne les prie pas de venir, ils s’invitent aux moments les moins opportuns. Faut reconnaître que je les aide un tantinet de temps en temps histoire de croire qu’ils ont existé pour de bon. <br />
La poisse, pour m'enfoncer dans la déprime, il y a toujours les bons, les doux, ceux qui me sont favorables qui font surface. Au diable ces pincements du cœur qui arrivent avec. <br />
(To be continued.... ou pas)Sacrée nostalgieBravo
http://anastasia.blogs.fr/page_2.html#a643359
D’abord à une dame d’un âge avancé qui refuse vaillamment de quitter le champ de bataille. Pétrie des douleurs dûes à l’état de son squelette (qu’elle n’est pas prête à laisser aux croque-morts) elle garde la gueule vivace, les demandes de soins dans la politesse du protocole légèrement oublié par le système hospitalier et trouve le temps à s’occuper de la vie de la communauté qu’on a établi à plusieurs avec chance et petits bonheurs. Tout en étant sous morphine chaque mouvement lui coûte une douleur à peine supportable. Chapeau ! Quelle génération les nonagéneres ! Je l’ai vécu avec ma mère, avec d’autres femmes tout aussi accrochées au vivant. Nous les épigons faiblards et geignant pour la moindre petite contrariée je me demande comment on est descendu si bas ? Trop choyés par les trente glorieuses ? Sans expérience aucune des épreuves passées ou à venir ? <br />
Quoique hier j’ai entendu une nouvelle stupéfiante : une de mes copines a décidé à 86 ans de se séparer de son conjoint ..... Probablement à bout de souffle des ennuis quotidiens, que sais-je de l’intimité d’un couple ? En tout cas j’en suis pantoise et....admirative. Tout n’est pas écrit ou alors le destin facétieux nous concoctent des surprises. Eh ben ....<br />
BravoTiens ....
http://anastasia.blogs.fr/page_3.html#a643120
Autre question respirant la banalité. Cependant ce serait bête d’ignorer son importance : on dit cerveau mais on subodore âme. Un mot qu’on a presque honte de prononcer....N’existe plus dans le vocabulaire politiquement correct. <br />
Et pourtant on reparle depuis peu si les animaux ont une âme. Enfin, peu... je m’égare. Les églises ont abordé ce piège depuis longtemps sans apporter ne serait-ce qu’une étincelle pour éclairer ce gouffre où l’on jette tout ce qui nous est inconnu. Les écologistes poussent aussi vers les monde végétal. Dans le cas des animaux c’est bien résolu et depuis longtemps. Quiconque a eu ne serait-ce qu’un hamster connaît la simple vérité : oui, ils en ont une peut-être plus abyssale que la nôtre. Pour les végétaux on est en pleine exploration. Pour ma part je trouve que même les pierres en on une. La preuve,elles gardent une mémoire qui nous dépasse largement en ancienneté. <br />
Je suis perplexe néanmoins : on est au bord de tous les gouffres. Qu’on a occulté, qu ’on n’a pas soupçonnait....notre regard étant ailleurs, principalement vers nos égos tellement enflés qu’on aperçoit plus rien en dessous du propre ventre. Alors pourquoi un manque terrible nous taraude ? On cherche des âmes tout autour. À coup de jérémiades, d’égarements dans de idéologies fantaisistes, des discours politiques savamment enbobineurs. Serait-ce parce que on a oublié qu’on en a une nous aussi ? Ce qui est sûr c'est qu’aujourd'hui on ne saurait quoi faire avec.Tiens ....Attendez !
http://anastasia.blogs.fr/page_3.html#a642983
J’ai une autre lapalissade pour vous, une que vous vivez chaque jour mais dont vous n'en percevez pas l’évidence. On a beau nous bourrer le crâne depuis les temps immémoriaux dans tous les langages religieux, ésotériques, païens, que nous sommes uniques, entité indissoluble, acide sulfurique exclu, et qu’il faut par tous les moyens physiques ou mentales harmoniser tout cela. Et allons-y chez lez gourous, prêtres et autres psychiatriques pour finir en un morceau bien agencé. <br />
Bilevesée ! Bulshit ! Il y a longtemps que je me suis rendu compte de cette immense supercherie ! Mon cerveau vit sa vie , rien à foutre avec le reste. Il demande, il décide il m’enfonce ou me sauve selon ses propres lois ( désirs, nécessités ?). Le corps suit cahin caha, la plupart du temps ne suit pas. Va savoir, depuis quelque temps on dit qu’on a une quantité de cerveaux, au cœur, à l’estomac, enfin le nombre n’est pas encore fini. Vous connaissez la chanson. Mais aucune idée où cela nous mène. <br />
Voilà pourquoi on est en décalage, surtout quand on vieillit. Le cerveau et le reste ne roulent pas à la même vitesse. Honteusement je me retrouve avec un mental d’adolescent attardé dans un corps qui visiblement a fait sont temps, il en a marre, cherche avec de plus en plus de persévérance à prendre sa retraite. Éternelle, le plus vite possible. Que ça saute, quoi ! <br />
Je bute dans cet impasse, ni le cerveau ni le corps n’arrivent pas à trouver un terrain d’entente. Mes frères, on n’est pas prêt à sortir de cette galère, n’est-ce pas ?Attendez !Je refuse
http://anastasia.blogs.fr/page_3.html#a642981
Mon corps entier est en plein déni. Le lever cela ressemble et c’est hilarant au lever du Roi. J’ouvre les yeux et je cherche du regard mes fantômes. Des fois ils sont là et la journée est bonne. Pas seule donc. Je peux avancer vaille que vaille pour la finir Dieu sait comment.... En souffrance sûrement, avec ou non le support de ma bonne rasade de vodca. D’autres fois c’est un supplice. Oh, un petit.... je n’arrive pas à m’endormir, les jambes commencent à singer les pantins, le chaud et le froid m’attaquent de partout, bref, une minuscule préfiguration de l’enfer -s’il en existe un. <br />
La lucidité ne m’a pas encore quitté, je sais ce que je vis et comment je suis en arrivée là. Le plus insupportable c’est le manque. D’abord des miens, mes complices, mes alter egos. Inutile de urler ma douleur, mes manques, c’est stupide et enfantin.. Comment faire pour remplir au moins un de ces vides ?Auriez-vous une idée? Solution salutaire ? J’en connais une mais je vais y faire appel le plus tard supportable. Par lâcheté ? Par espoir insensé que le merveilleux est encore possible ?Courage ma poule, t’es vraiment d’un commun avec tes jérémiades....Je refuseFaites des enfants !
http://anastasia.blogs.fr/page_3.html#a642897
Injonction qui vient un peu de partout, démographes et politiques. Nécessité, urgence absolue. Forcément j’acquiesce ! Que vois-je pourtant ? Des jeunes couples que le mariage rebute mais pas les sorties en boîte ni les vacances exotiques. On n’a plus la patience de sortir le chien, alors changer des couches, sacrifier des nuits, plus encore des carrières, se dévouait à un petit bout de chou, pensez-vous, il n’en est pas question. Ou si peu....<br />
Une civilisation qui s’ecroule en riant, ouverte à tous vents , le cœur en chou-fleur pour qui la sollicite tout en pestant contre l’intrus- voilà le spectacle qu’on offre mes amis. Sciemment ou non. De la fin de l’histoire c’est presqu’interdit d’en parler. Va, on ne perd rien pour attendre ....Pour moi c’est cuit de toute façon. Faites des enfants !YOGA et SURRÉALISME
http://anastasia.blogs.fr/page_3.html#a642197
Deux mots m’agaçant au plus haut point ! ( Là j’exagère, il y en a plein d'autres). De leurs origines il n’y est plus question ! Toute activité physique qui tend par des moyens diversifiés souvent contradictoires à améliorer nos manières locomotrices prend l’appellation de Yoga (yoga des yeux, yoga du visage, du dos, des pieds, des intestins, en veux tu en voilà) occultant sa signification primaire qui est une philosophie et un art millénaire de vivre, de mourir aussi. Qui pour préciser sévit en Orient et n’a rien en commun avec nos singeries ( permettez la boutade) occidentales. Encore un moyen de masquer nos ignorances en les fructificant en monnaies sonnantes et trébuchantes. Pas envie de m’attarder là dessus. <br />
Surréaliste, encore un train de conneries lancé à pleins tubes ! Tout ce qui nous surprend, ce qu’on ne connaît pas, on ne comprend pas, toute chose expression ou événement imprévu est taxé de surréaliste ! Ah ! Ces intellectuels raffinés qui font du yoga effarouchés par les aléas de la vie, leurs méninges explosant de bêtise, ça serait vraiment surréaliste !!!!YOGA et SURRÉALISME